En piste !

L’exposition En piste ! présente quelques costumes historiques et emblématiques prêtés par les plus grandes familles de cirque du monde entier.

En 1974, Annie Fratellini, première femme à endosser le rôle de clown auguste, connue pour ses manteaux trop grands, ses chaussures gigantesques, son nez rouge et ses numéros à la fois drôle et touchant, créé avec son mari Pierre Etaix l’Ecole nationale du cirque Annie Fratellini. Du chapiteau sous le périphérique parisien à son implantation en 2003 à quelques rues du Stade de France, l’Académie Fratellini poursuit l’aventure artistique dans le respect et la tradition de sa fondatrice. Installée dans un équipement à l’architecture innovante, elle s’affirme comme une école supérieure et une plateforme artistique de renommée internationale.
L’Académie Fratellini conçoit un enseignement des arts du cirque de l’éveil à la professionnalisation et offre aux artistes un lieu de production, de résidence et de création.
Dans le cadre de l’exposition actuelle, l’Académie Fratellini est allée puiser dans ses collections des costumes emblématiques ayant appartenus à François Fratellini (1879-1951) et à Annie Fratellini (1932-1997). Elle a également accepté de prêter des costumes plus récents (le plus récent datant de 2012). Ensemble, ces costumes témoignent de l’évolution du costume de cirque sur un peu moins d’un siècle. 

Exposition “En piste ! les plus beaux costumes de cirque”, jusqu’au 5 janvier 2014 au CNCS. 
Centre National du Costume de Scène | CNCS

GO! only one more week to see this great show!!!

John Chamberlain: Choices
[February 24–May 13, 2012]

La commode de Mme. du Barry

Attributed to Martin Carlin, 1772 [Musee du Louvre, Paris]
Left plaque: after Nicolas Lancret ~ Par une Tendre Chansonnette  
Center plaque: after Jean-Baptiste Pater ~ L’Agréable Société 
Right plaque: after Nicolas Lancret ~ La Conversation Gallante
The apartments of the favorite at Versailles formed a series of boudoirs, each of which seemed to those who entered for the first time more elegant than another. The chimney-piece in the salon was adorned with a magnificent clock, “around which a world of porcelain figures disported themselves.” In the same room were two commodes of priceless lacquer, one relieved by figures in gold, the other decorated with fine porcelain plaques, which, we are told, had not their equals in Europe.  From the ceiling hung a lustre of rock-crystal, which had cost 16,000 livres, and in a a corner stood a beautiful piano, the work of the famous Clicot, the case of which was of rosewood, exquisitely inlaid and lavishly gilded. The cabinet contained a writing-table plated with porcelain, and an inkstand which was a masterpiece of the goldsmith’s art; while in the bedroom was a wonderful clock, which represented ” the Three Graces supporting the vase of Time,” and Love indicating the hour with his arrow. “The most exquisite objects of art, marvels of upholstery, bronzes, marbles, statuettes, abounded in this asylum of voluptuous pleasure. It was the last word of luxury.”! – Hugh Noel Williams Memoirs of Madame Du Barry, of the court of Louis XV, 1910