Category: Paris
La si jolie demoiselle qui doit son nom à Coco Chanel
Mannequin
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l’éléphant est amoureux du millimètre
sous son chapeau d’or
son cuir est calme
avec un rire de flore
il porte son fusil de gélatine
son pis est rempli d’éclairs
en pur gothique flamboyant
et des souliers pâles et purgés
comme un néo-soldat
après une défaite de lune
échange sa canne contre une baguette
et remonte avec son bâton
le long du tronc d’arbre
repose son nez sur un jet d’eau
qui se perd dans un livre de chair
chaque poil de ce livre
pèse une livre
autour des cuvettes d’amour
remplies de cœurs percés de flèches
devient un papapillon empapaillé
le papapillon empapaillé
devient un grandpapapillon grandempapaillé
arrose des estomacs des cœurs des cerveaux des tripes
c’est-à-dire des lys des roses des œillets des lilas
derrière son oreille gauche
et sa main gauche
dans sa main droite
et saute sur son pied gauche
par-dessus son oreille droite
–> Poèmes, essais, souvenirs, 1920–1965, Gallimard Paris, 1966
Noble Hunchback, brilliant Laughton…
La superbe valse à mille temps ♫♪♫
Toute seule tu souris déjà
Au premier temps de la valse
Je suis seul, mais je t´aperçois
Et Paris qui bat la mesure
Paris qui mesure notre émoi
Et Paris qui bat la mesure
Me murmure murmure tout bas
Qui s´offre encore le temps
Qui s´offre encore le temps
De s´offrir des détours
Du côté de l´amour
Comme c´est charmant
Une valse à quatre temps
C´est beaucoup moins dansant
C´est beaucoup moins dansant
Mais tout aussi charmant
Qu´une valse à trois temps
Une valse à quatre temps
Une valse à vingt ans
C´est beaucoup plus troublant
C´est beaucoup plus troublant
Mais beaucoup plus charmant
Qu´une valse à trois temps
Une valse à vingt ans
Une valse à cent temps
Une valse à cent ans
Une valse ça s´entend
A chaque carrefour
Dans Paris que l´amour
Rafraîchit au printemps
Une valse à mille temps
Une valse à mille temps
Une valse a mis l´temps
De patienter vingt ans
Pour que tu aies vingt ans
Et pour que j´aie vingt ans
Une valse à mille temps
Une valse à mille temps
Une valse à mille temps
Offre seule aux amants
Trois cent trente-trois fois l´temps
De bâtir un roman
On est deux, tu es dans mes bras
Au deuxième temps de la valse
Nous comptons tous les deux : une deux trois
Et Paris qui bat la mesure
Paris qui mesure notre émoi
Et Paris qui bat la mesure
Nous fredonne, fredonne déjà
Nous valsons enfin tous les trois
Au troisième temps de la valse
Il y a toi, y a l´amour et y a moi
Et Paris qui bat la mesure
Paris qui mesure notre émoi
Et Paris qui bat la mesure
Laisse enfin éclater sa joie.
Fauteuil 31
Georges Dudognon
Je ne me lasserai jamais de La Drague… et puis j’adore Bedos!
J’dis rien parce que je n’veux pas faire de scandale
Mais alors quel pot de colle !
Y s’fait des idées ou quoi ?
J’ai accepté de faire cette série de slows avec lui
Pour pas faire tapisserie d’vant les copines
Mais alors… j’en vois plus l’bout !
J’emballe, j’emballe sec
Allez ! vas-y Jeannot ! Attaque ! Attaque ! Ca marche ! Ca marche !
Accroche-toi Jeannot ! La nuit est à nous…
Qu’est-ce que je regrette d’voir dit oui à c’type
En plus y s’est aspergé d’eau de toilette
Mon Dieu ! j’sais pas ce que c’est cette eau de toilette, mais alors…
Drôlement incommodant !
Elle est pas terrible, terrible, mais elle est pas mal
Pour une fois j’ai pas hérité de la plus moche
Y a pas longtemps j’me suis coltiné une géante toute la soirée
Au moins celle-là elle est à ma taille
Elle est pas terrible, mais elle est à ma taille
Moi j’aime les grands blonds alors j’suis servie
Comme métèque on ne fait pas mieux
J’suis sûre qui doit être Libanais ou quelque chose…
Quelle horreur !
Et puis alors il me donne chaud à me coller comme ça
Et vas-y que j’te colle, et vas-y que j’te colle
Ça m’gène pas des masses, mais elle a les mains moites
C’est parce que je dois lui faire de l’effet
C’est l’excitation, ça !
J’vais lui mordiller le lobe de l’oreille
Si elle m’fout pas une baffe c’est qu’j’ai ma chance
Ouais ! C’est pas dans la poche ! Faut s’accrocher
Accroche-toi Jeannot
Il est con ce type
Ah ! et puis alors qu’est-ce qui cocotte !
Cette eau de toilette… nauséabonde
Si y avait pas les copines qui m’regardent
Comment que j’te planterais là
Mais ça Arlette et Josie j’vais pas leur faire ce plaisir
Elles en sont vertes de m’voir danser, malades de rage
Alors ça maintenant tant pis, j’vais au bout…
Mais alors on peut dire qu’ça me coûte
Et encore j’n’ai pas sorti le grand jeu
Attend un peu que j’me déchaîne
Allez vas-y, vas-y Jeannot ! Emmène-la au ciel
C’est la dernière fois que j’viens danser
Tant pis si j’coiffe Sainte-Catherine, mais alors !
Des excités comme ça merci bien
Il parait qu’elles adorent ça ces chiennes !
J’l’ai lu dans une revue spécialisée
On va voir c’que ça donne
J’vais partir du bas du dos et remonter jusqu’à la nuque
Il vient d’me labourer la peau du dos avec son ongle
Tu parles d’un plaisir ! Moi qui ai un mal fou à cicatriser
C’est bien ma veine ! Il a fallu que j’tombe sur un sadique
C’est tout moi ça !
Vivement qu’ça finisse ce slow parce que j’suis au bord de l’esclandre
Y a plus qu’à porter l’estocade, allez vas-y Jeannot
Vas-y mon fils, il faut conclure maintenant
Il faut savoir s’imposer, c’est tout…
Rue des Moulins
In a room richly decorated with autumnal colours and Chinese patterns, two women stand in line. One is blonde and more mature than her smaller red-haired colleague. Both have lifted their chemises to reveal naked buttocks and thighs and black knee-length stockings. The blonde has a look of resignation. Her eyes are downcast and her dress gathered in front to preserve what remains of her dignity. Her younger colleague seems more assertive. With her bright red hair, rouged cheeks and chemise hoisted high, she approaches her assignation with some boldness. A third women in a turquoise kimono (probably another colleague) walks away from them towards a group of people below a large window through which can be seen a clock tower (perhaps a church or the nearby Bibliotèque Nationale). Keep reading here ➔ Mike McKiernan, 2009 – Oxford Journals Occupational Medicine Volume 59 Issue 6















